La vie d’un chasseur d’ombre de base, n’est pas une mince affaire et Alexander s’en rendait compte de plus en plus, mais ça ne le gênait pas et ça lui convenait. Même si parfois, ça ne faisait pas de mal de pouvoir souffler un peu, même si le monde n’était pas la plus belle « merveille » du monde. C’était rare quand il pouvait passer du temps avec Max, et il avait bien l’intention de rattraper un peu le temps perdu, même s’il savait qu’à tout moment ça pouvait être chamboulé. Un appel de l’institut, une attaque qui pourrait survenir ou il se trouvait actuellement. On n’est jamais à l’abri, avec l’imprévu et un chasseur d’ombre se doit toujours d’être capable de se battre, pour le bien des terrestres, du monde en général, mais aussi celui du monde obscur.

Alexander était rendu un peu en avance, mais pour une fois qu’il pouvait être dans les temps, ce n’était pas un mauvais sentiment. Le soleil était au beau fixe, même si le vent soufflait un peu et qu’il piquait un peu, mais c’était tout à fait gérable et acceptable sur le contact de la peau ou de ses vêtements. Normalement, son frère devait arriver, leur mère devait le déposer ici avant de retourner dans sa boutique d’antiquité, dont elle s’occupait depuis peu et il était heureux de voir, sa mère enfin heureuse et épanouit, même si elle était dépourvue de ses runes, elle arrivait à se construire une tout autre vie, un tout nouveau chemin et ça le rassurait de voir que ça se passait bien pour elle. Regardant sa montre pendant quelques secondes, il y a encore une dizaine de minutes avant qu’il n’arrive et connaissant sa mère, elle était toujours à l’heure et jamais en retard, sauf quand un imprévu pointait le bout de son nez, mais sa mère prévenait.

Il décida de s’asseoir sur un banc, tout en regardant la grande étendue de verdure qui se trouvait autour du lieu. C’était vraiment bien entretenue, ses yeux pouvaient le percevoir, ce n’était pas du tout abandonné. Quelques personnes marchaient, soient seules ou bien accompagnées, mais c’était plutôt calme et apaisant, plutôt agréable surtout avec tout ce qu’il se passait en ce moment. Réajustant le col de sa veste noire, un réflexe qu’il fait instinctivement et naturellement. Il pouvait entendre les oiseaux chantaient et c’était un son, loin d’être désagréable.

Le regard contemplait le paysage tout autour de lui, presque comme s’il en était subjugué et dans un sens, ce n’était pas vraiment faux. Ce calme et cette tranquillité lui procuraient un bien satisfaisant, même s’il savait qu’il ne pourrait pas durer éternellement. Rien n’est éternel dans ce monde, bon, c’est ce qu’il se dit pour lui-même, alors que dans le fond, il sait que l’éternité est possible, vue qu’il la côtoie et qu’il est avec un homme « sorcier » depuis des mois. Le banc n’est pas non plus, le plus confortable, mais il fait avec comme toujours. S’adaptant et ça depuis qu’il est enfant, c’est la base sacrée et nécessaire pour un chasseur d’ombre.

Son frère n’est pas loin, il ne devrait pas tarder, donc il ne regarde plus vraiment sa montre, car il sait que sa mère le conduira à l’heure maintenant. Soudainement, il entend sa voix qu’il reconnaît facilement et sans la moindre difficulté. Un sourire vient illuminer son visage, quand il le voit et l’entend lui avouer, qu’il est content de passer du temps avec son frère. Répondant sur un ton calme, tout en prenant son frère dans une accolade, comme il le fait toujours et il sait, que ça ne risque pas de changer, même quand il sera adulte. - « Bonjour Max, moi aussi, je suis content de passer du temps avec toi, ça faisait un petit moment que nous ne nous étions pas retrouvés ensemble. » - . Se décalant un peu pour lui laisser suffisamment de place pour qu’il puisse s’asseoir à côté de lui. Il voulait savoir, s’il allait bien et surtout si ça se passait bien à l’institut. Regardant son frère avant de poursuivre. - « Comment vas-tu ? Ça se passe bien à l’institut ? L’entraînement, ça va ? » -. Il s’inquiétait pour son petit frère, qu’on lui mène la vie dure, parce qu’il était le directeur de l’institut, mais pas que c’était aussi son petit frère et il voulait qu’il soit en sécurité et heureux.

La compréhension de son petit frère l’étonnait vraiment, il ne s’était pas vraiment aperçu à quel point il n’était plus un enfant, mais qu’il grandissait. Le temps l’avait devancé, car il valait qu’il chasse cette image de son petit frère, parce que maintenant, il était sur le point de devenir un adolescent. Alexander avait encore du mal à l’accepter et à s’y faire, donc il pouvait aussi comprendre sa sœur quand elle lui parlait de Max. Qu’elle avait peur qu’il aille sur le terrain, parce qu’il était du genre à y aller, sans que la peur ne le freine, en fait il devenait tout simplement un chasseur d’ombre. La preuve, il portait la marque de l’ange sur le bras, désormais, confirmant sa voie et il était vraiment fier de son petit frère. Oui, il n’avait pas vraiment le temps de profiter de sa famille, comme il le souhaiterait, c’était un peu compliqué depuis qu’il était directeur. Même s’il était fier de son poste et de son titre, mais il avait beaucoup de responsabilités et qu’il agissait toujours sur le terrain ou non. Pourtant, quand il le pouvait, il allait toujours auprès de sa famille ou de l’homme qu’il aime. - « Ce n’est pas toujours facile, mais j’aime le poste que j’ai et je fais tout ce que je peux pour être à la hauteur et surtout pour toujours le mériter. » -. Alexander n’était pas un homme parfait et il ne serait jamais, mais il savait se donner corps et âme pour tout faire pour les siens et les autres.

Souriant quand il prit place à ses côtés, tout en lui demandant comment se passait son entraînement au sien de l’institut. Quand il lui parlait de Zéphir, une pensée de tendresse alla directement envers cet enfant qui avait perdu ses parents, il n’y a pas très longtemps. Alexander était rassuré de savoir qu’ils s’étaient rencontrés et ils espéraient qu’ils deviendraient de bons amis. - « J’espère que tu t’entends bien avec Zéphir et que vous deviendrez de bons amis, si jamais cela doit se faire. » -. Il voulait que son frère et ce jeune garçon trouve une personne en qui avoir confiance et s’appuyer en toutes circonstances. C’était ce qu’il avait de plus important à ses yeux, que son frère ou que l’autre enfant ne soit pas seul à affronter le monde, surtout en de pareilles circonstances. Un léger rire s’échappa de ses lèvres, quand parla de leur sœur de cette manière, avant de répondre sur un ton amusé. - « C’est tout simplement notre sœur, Max, si elle ne l’était pas ça n’irait pas et on serait inquiet si jamais, ça venait à changer. Elle sera toujours protectrice envers toi, petit frère. » -. Comprenant sa sœur qu’elle est du mal à le laisser aller sur le terrain. Max lui demanda comme il allait, dans le fond ça allait plutôt bien, même si avec ce qu’il se passait maintenant, rien ne prévoyait que cela irait pour le mieux, indéfiniment bien au contraire, mais il ne voulait pas lui en parler. Parce qu’il le connaissait, il était très intelligent et il pourrait résoudre certaines situations qui pourraient le mettre en danger, risquer sa vie comme ça avait été le cas, quand il avait découvert l’identité de Jonathan et il ne voulait pas risquer que cela ne se reproduise. Le rassurant alors, comme il se le devait. - « Je vais bien, Max. Et puis, c’est un honneur d’être directeur même si j’ai encore beaucoup de choses à apprendre, mais je fais tout ce que je peux, pour être à la hauteur des attentes des autres. » -. Max connaissait son grand frère, pour être impeccable, mais aussi à l’écoute, quand c’était nécessaire, mais ça ne veut pas dire que tout est simple, loin de là.

Alexander comprenait ce qu’il ressentait, parce qu’il l’avait éprouvé, au même âge que son petit frère. Même si ça lu paraissait comme appartenir à une ancienne époque. Les souvenirs étaient toujours intacts, dans son esprit et au profond de son cœur. Donc, sa réponse ne l’étonnait pas, le moins du monde. - « Je sais ce que tu ressens. J’ai ressenti la même chose, quand j’avais ton âge. » -. Il voulait lui dire et être honnête avec son petit frère. Qu’il comprenait ce qu’il traversait.

Se décalant un peu et il lui sourit, quand il vint prendre place à côté de lui. Alexander l’écoutait lui dire, comment ça se passait. Savoir qu’ils s’entraînaient ensemble, au corps-à-corps étaient une excellente nouvelle. Ça le rassurait aussi de savoir que Zéphir appliquait quelques séances d’entraînement. - « Le plus important, c’est que vous vous entraidez mutuellement. C’est la clé principale de tous types d’entraînements. » -. Avant d’ébouriffer un peu les cheveux de son petit frère, avant de lui répondre calmement. - « Il y a un début à tout Max et c’est le plus essentiel pour avancer, mais surtout grandir et aborder le monde. » -.

Touché sincèrement, quand il lui dit qu’il était fier de lui et qu’il soit devenu le directeur de l’institut. Glissant un bras autour des épaules de son frère, avant de le tirer vers lui et il savait qu’il n’apprécierait pas. - « Merci, petit frère. Je sais déjà à quel point, tu aimes et fier de ton grand frère. » -. Il n’avait pas l’intention de le lâcher. Le calme était agréable autour d’eux. Rien de dangereux à l’horizon. Alexander ne savait pas si Max voulait marcher, pour pouvoir se dégourdir les jambes, mais pour le moment, il s’occupait de taquiner son petit frère. Un réel bonheur, comme au bon vieux temps, tout simplement.

Un sourire se glissa sur ses lèvres, quand il lui avoua qu’il avait l’impression que l’on le surprotégez trop. C’était une évidence, car même si Alexander cachait mieux son côté protecteur, comparé à sa sœur. Il restait prudent et prévoyant envers son petit frère, qui n’était plus aussi petit, car il grandissait maintenant. D’ici quelques années, il deviendrait à son tour, un homme, comme ça avait été le cas pour Jace et pour lui-même. Même s’il avait la sensation, que c’était une ancienne époque, c’était arrivé à ne pas en douter. Avant de lui répondre. - « Ce n’est pas qu’une impression, petit frère. Nous le reconnaissons, mais c’est de famille et tu l’es aussi à ta manière. Nous sommes des Lightwood après tout. » -. Sur un ton un peu amusé, tout en le regardant, pendant qu’il s’exprimait sur les traits caractéristiques de la famille, plus ou moins semblables.

Heureux et fier de la vision, qu’avait Max et de son approche envers Zéphir qui avait vécu le pire, il y a quelque temps. Alexander se souvient d’avoir fait les démarches nécessaires, pour qu’il vienne « vivre », à l’institut de New-York. Être directeur avait été un plus, pour que l’enclave approuve sa demande. Et, il faut dire que leurs exploits avaient été un mixe des deux, mais pas une trop grande barrière non plus. L’essentiel, c’est qu’il était là et que Max et lui deviennent proches à leurs rythmes. Montre clairement que ça avait été une bonne décision. - « Oui, ça n’est pas pour lui, et c’est bien que vous vous rapprochiez, sans rien précipiter. Que cela se fasse aussi naturellement que possible. » -. Même s’il sentait que cet enfant ne l’aimait pas, mais pour rien au monde, il ne pourrait le lui reprocher.

C’était l’heure maintenant, à quelques taquineries, lui ébouriffant les cheveux, aimant l’embêter un peu. - « Ne fait pas ton timide, Max. Ca ne te va pas du tout. » -. La réaction de son petit frère le fit rire légèrement. Avant d’arrêter après quelques longues secondes de lui ébouriffer les cheveux. Tout en lui demandant. - « Tu veux qu’on aille se commander une boisson ou autre chose ? » -. A vrai dire il ne serait pas contre, un grand gobelet de café bien sucré, il l’apprécierait même, mas avant de faire la moindre démarche, il attendait la réponse de Max.

Alexander était fier de son petit frère, il savait qu’il devait aider l’enfant, à s’entraîner du mieux qu’il pouvait. Il n’hésita pas à le lui dire, avec ses mots. - « Je sais que tu l’aides comme il se doit. Je n’en doute pas. » -. Le chasseur d’ombre était sincère. Puis, il commença à le taquiner un peu, comme pour rattraper le temps passé, ça faisait un petit moment qu’ils ne s’étaient pas retrouvé. La réponse de son frère, comme quoi il n’était pas timide du tout, le faisait rire légèrement. Tout en continuant à lui ébouriffer les cheveux, tout en lui demandant s’il avait envie de boire ou de manger, quelque chose. La réponse qui lui donna Max, l’enchanta vraiment et cela se voit sur son visage.

Ne tardant pas à se lever, avec un certain élan d’enthousiasme. Réajustant ses vêtements rapidement, pour être à l’aise avant de se rendre vers un stand qui n’était pas très loin. Ils n’avaient que quelques mètres à faire avant d’atteindre leur but. Regardant son frère, tout en lui adressant un sourire doux et sincère. - « Allons-y Max. » -. Il savait que son petit frère allait le suivre. Alexander commença à marcher, tout en étant devant, mais sans s’éloigner de son frère. Ils marchaient, maintenant l’un à côté de l’autre. Le stand arriva enfin et ils s’arrêtèrent devant, tout en faisant un peu la queue. Seulement quelques minutes pour que les autres passent, avant que ça ne soit à leur tour. Le chasseur d’ombre savait ce qu’aimait son petit frère. Il commanda un chocolat chaud et un café allongé, pour lui. Payant, avant de tendre le gobelet à Max. - « Chocolat chaud, pour toi. » -. Le lâchant, une fois que son frère le tenait convenablement dans l’une de ses mains, de jeune adolescent à en devenir. - « Tu veux qu’on marche pendant qu’on boit nos boissons chaudes ? Ou tu préfères que l’on s’assoie ? » -. Buvant quelques gorgées de son café, qu’il appréciait vraiment tout en attendant la réponse de Max. Le soleil était là, mais le temps était clément et ça lui convenait plutôt bien.

Le décevoir ? Alexander avait confiance en lui pour savoir qu’il ne le décevrait pas de sitôt. Donc, il n’avait pas vraiment de souci à se faire, s’il continuait dans cette voie. Le chasseur d’ombre lui souriait. - « Je sais et tu ne me déçois pas, petit frère. Tant que tu restes fidèle à tes principes, à ce que tu es, c’est le plus important pour avancer. » -. Il était honnête et il le regardait dans les yeux, pendant qu’il s’adressait à lui simplement et sans avoir besoin de ménager ses mots.

Puis, ils se levèrent et ils se dirigèrent vers le stand pour pouvoir commander leurs boissons chaudes, afin qu’ils puissent les déguster en cet après-midi plutôt calme et apaisant. Tout en finissant par passer commande, puis les boissons se trouvent dans ses mains. Il tend le chocolat à chaud à son petit frère, qu’il prend sans plus tarder. Ils décident de poursuivre leur marche, pour pouvoir se diriger vers un banc et Alexander, tout en attendant de savoir si son frère compte s’asseoir ou pas à côté de lui, mais ça ils avaient le temps pour prendre la décision. Un peu de marche ne faisait pas vraiment de mal après tout. Max semble avoir quelques choses à lui demander, et il ne sait pas ce qu’il compte lui dire, donc il ne peut pas s’empêcher de s’inquiéter un peu, comme un « bon » grand frère qu’il est et qu’il restera jusqu’à son dernier souffle.

Alexander boit quelques gorgées de son café allongé, puis il décide de l’encourager dans son élan et de poursuivre ce qu’il compte lui demander. - « Dis-moi … je t’écoute … » -. Il commençait à se demander, est ce son petit frère avait besoin de conseil pour parler à une fille ? Ou bien avait-il besoin de conseil pour s’entraîner ou pour le combat ? Tout était possible, même si la deuxième option pour être honnête était plus à l’aise pour Alexander à aborder et à apporter des réponses. Il faut dire qu’il ne s’y connaît pas vraiment en relation amoureuse, c’était plutôt sa sœur qui pouvait être d’une oreille attentive et de bons conseils de ce côté-là, comme ça avait été le cas pour Alexander vis-à-vis de Magnus.

Alexander savait que son petit frère était toujours un étudiant, qu’il ferait certainement des erreurs, mais lui-même en avaient faites, mais ils avaient aussi appris d’elles. Il savait que ça serait la même chose, le même cheminement pour son petit frère. Si on ne faisait pas d’erreur dans la vie, ce n’était pas vraiment une vie, à ses yeux, car on apprenait à travers elle. - « Je sais Max, mais nous faisons tous des erreurs dans nos vies et le plus important, c’est d’apprendre d’elles, pour pouvoir les surmonter et surtout être plus fort. » -. Le chasseur d’ombre disait cela en connaissance de cause, parce qu’il était passé par là aussi bien, il voulait le dire à son petit frère. - « Moi aussi, j’ai fait des erreurs quand j’étais étudiant, et j’en ferai toujours en étant adulte. L’important, c’est d’apprendre d’elle et un petit plus, c’est d’être aussi bien entouré. » -. Tout en lui adressant un sourire sincère.

Ils marchaient l’un à côté de l’autre, il n’aimait pas vraiment sentir le silence autour d’eux, car il le sentait un peu pesant quand même. Pourtant, il se retenait de le rompre parce qu’il savait que ce n’était pas vraiment judicieux de le faire. D’ailleurs, après mures réflexions son petit frère décida enfin de parler et de se livrer à lui. Apparemment, Zéphyr avait parlé de lui à Max, c’est vrai que l’enfant n’avait pas l’air de l’apprécier, mais il ne pouvait pas l’en blâmer non plus. Sa question était tout à fait intelligente, mais il n’avait pas vraiment de réponses concluantes à lui apporter. Il décida de s’asseoir sur un banc, avant de pouvoir lui transmettre une réponse et ce qu’il en pensait. Soupirant légèrement avant de s’adresser à lui. - « Je n’ai pas vraiment de réponses. Je ne sais pas pourquoi il me déteste exactement. Je pense surtout qu’il est en colère et triste, perdre ses parents, des membres de sa famille, c’est douloureux. » -. C’était ce qu’il semblait le plus logique pour lui, mais il n’avait pas la science infuse et encore moins remède à tout. Avant de continuer calmement, tout en jouant un peu avec son gobelet en carton, qui réchauffait ses mains, dû à la chaleur du café qui s’y trouvait. - « Je suis simplement soulagée de savoir qu’il t’en ait parlé, c’est que vous êtes amis et c’est le plus important. Je pense aussi qu’il faut laisser le temps à Zéphyr, peut-être que plus tard, il me détestera moins, qui sait. » - . Le chasseur d’ombre espérait que ça finirait par s’arranger, mais il comptait sur le temps pour l’y aider un peu pour à parvenir et surtout la patience.